Peu d’ouvrages jusqu’à présent ont abordé la vie sexuelle des djihadistes de Daesh en Syrie.

Marion van San, la sociologue, criminologue et chercheuse à l’université Érasme de Rotterdam, a récemment publié un ouvrage intitulé «Kalifaatontvluchters» qui recueille le témoignage d’une vingtaine de compagnes de ces sois-disant «soldats de Dieux».

Les différents contacts se sont fait par WhatsApp, par e-mails ou par consultations de rapports d’écoutes téléphoniques.

Les conversations entre un combattant et sa petite amie restée au pays ne portaient pas seulement sur la religion, mais aussi sur le sexe.

La prostitution était monnaie courante

Une femme a expliqué à Marion van San qu’à son arrivée en Syrie, elle avait deux choix possibles: épouser un djihadiste ou se prostituer. Tout était organisé pour subvenir aux besoins sexuels déviants des combattants.

L’organisation fournissait des femmes comme du bétail prêt à être utilisé. Selon eux, « le viol des mécréantes était même permis ». Les femmes jésuites et des irakiennes emprisonnées était soumise à l’esclavage sexuel dans des maisons closes gérées par les femmes djihadistes elles-mêmes.

Le califat ressemblait un peu à un bordel géant.

Comment peut-on encore qualifier Daesh d’«Etat islamique» alors que ses pratiques n’ont rien d’islamique du tout ?

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