Le président iranien Ebrahim Raisi a déclaré que si Israël commet une autre erreur et viole la souveraineté territoriale de l’Iran, la situation sera différente et il n’est pas clair s’il restera quelque chose de l’État d’occupation : « Il ne restera rien d’Israël s’il commet une autre erreur contre l’Iran ».
Il a souligné que « le soutien des États-Unis et de l’Occident aux crimes sionistes qui ont entraîné le martyre et la blessure de plus de 100000 Palestiniens sur les terres usurpées de Gaza montre que les plus grands violeurs des droits de l’homme aujourd’hui sont les Américains et l’Occident, et que leur prétention à défendre les droits de l’homme est ridicule ».
Ebrahim Raisi a souligné que « aujourd’hui, la question de la libération de Jérusalem n’est pas seulement la question principale du monde islamique, mais aussi la question principale du monde de l’humanité », notant que « la résistance du peuple palestinien libérera Al-Quds Al-Sharif et toute la Palestine ».
Nous avons vu un grand nombre d’étudiants être expulsés des universités occidentales simplement pour avoir soutenu le peuple opprimé de Gaza, a-t-il dit, remettant en question la logique derrière cela et se demandant s’il s’agit vraiment d’une démonstration de liberté de pensée.
Soulignant la dernière escalade entre l’Iran et Israël, Ebrahim Raisi a déclaré : « Le grand peuple iranien a cette fois puni l’entité sioniste pour son crime et son attaque contre le consulat de la République islamique d’Iran à Damas, ce qui viole toutes les lois et conventions internationales ainsi que la Charte des Nations Unies. »
« Une attaque israélienne sur le territoire iranien pourrait radicalement changer les dynamiques et aboutir à ce qu’il ne reste rien du régime sioniste. »
