Toutes les critiques et les mesures destinées à étouffer dans l’œuf la vague d’indignation contre la politique criminelle de l’état sioniste, ne pourront rien face à la détermination de ceux qui ont décidé de se ranger du côté des opprimés.

Une indignation qui a pris une telle ampleur qu’elle atteint tous les domaines, tant politique, qu’économique, culturel ou encore sportif.
Le Celtic Football d’Ecosse fait certainement partie des plus acharnés défenseurs de la cause Palestinienne, pas un match ou une rencontre n’a lieu sans que les tribunes ne soient inondées par les drapeaux Palestiniens.
La récente décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale de l’état sioniste n’est pas passée inaperçue et nos ardents supporters du Celtic ont tenu à le clamer haut et fort.

Lors d’un match se déroulant à Edimbourg le week-end dernier, les fans du Celtic ont prouvé qu’il s’agissait pour eux plus que d’un simple match de foot. La rencontre a été l’occasion d’envoyer un message au président américain Donald Trump : « Jérusalem est la Palestine ». Une déclaration écrite en lettres vertes sur une banderole blanche que les supporters tenaient à l’intérieur des gradins du stade. Sur une autre bannière on pouvait lire « Fuck Trump ».
Les partisans des Celtes ont l’habitude d’afficher leur soutien au peuple Palestinien. Très régulièrement, ils arborent les drapeaux Palestiniens lors des matches contre les équipes israéliennes, un comportement qui leur vaut d’être mis à l’amende par l’UEFA. Les amendes qui se montent à plusieurs milliers d’euros ne dissuadent nullement les supporters du Celtic Glascow de protester contre l’occupation israélienne.
Les fans ont même créé un groupe appelé «Celtic Fans for Palestine» et les dons récoltés sont aussitôt reversés aux associations Palestiniennes.

Une fois encore le week-end dernier ils étaient au rendez-vous soutenus par les internautes britanniques de plus en plus nombreux à embrasser la cause Palestinienne au grand dam de l’instance dirigeante du football européenne.
Pour comprendre le soutien indéfectible des supporters du Celtic envers le peuple Palestinien, il faut se pencher sur leur histoire ancestrale qui est, pour l’essentiel, similaire.
L’une des chansons phare entonnée par les supporters s’intitule «The Fields of Athenry», écrite dans les années ’70. Elle raconte l’histoire d’une famille dépossédée de ses terres et condamnée à mourir de faim en raison de la Grande Famine irlandaise qui a sévi au milieu du XIXe siècle. Poussé par la faim, le mari est surpris en train de voler de la nourriture à la personne qui lui a pris ses terres. Il est emprisonné puis transporté en Australie : son épouse se retrouve livrée à elle-même, avec leurs enfants.

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