Des images étonnantes venues de Turquie montre des ingénieurs qui démolissent un bâtiment en utilisant des ondes sonores en l’occurrence le bruit de klaxons de voitures.
En Turquie, ils démolissent un bâtiment en klaxonnant, je n’ai jamais vu une ingénierie aussi particulière de ma vie, la démolition d’un bâtiment avec des vibrations sonores.. pic.twitter.com/WmGUMQtQ8I
— Restitutor Orientis (@RestitutorOrien) January 24, 2021
Théorie des cordes
La théorie des cordes a initialement été conçue comme une alternative pour décrire l’interaction forte : il s’agissait par exemple de décrire le processus de collision entre deux hadrons comme la collision de deux cordes qui, en se brisant, forment d’autres hadrons.
Une particule en mouvement décrit dans la théorie des champs une ligne, dans la théorie des cordes une surface bidimensionnelle, un tube. Dans ce dernier cas, les concepts sont plus abstraits : en effet, sur cette surface bidimensionnelle, appelée surface d’Univers, on définit des entités mathématiques abstraites : des champs qui forment les coordonnées de l’espace-temps. Le nombre de champs définis sur la surface d’Univers donne alors les dimensions de l’espace-temps. La supersymétrie occupe une place privilégie dans les théories des cordes, elle facilite la stabilité de la théorie et la description des fermions, particules de spin demi-entier.
Les diagrammes Feynman, qui décrivent les interactions entre les particules, deviennent dans ce dernier cas un réseau de tubes intersectés. Or dans la théorie quantique des champs, les résultats infinis qui apparaissent lors des calculs en boucle sont dus aux points d’interaction entre trois lignes (vertex). Dans la théorie des cordes, l’intersection n’est plus un point mais une surface bidimensionnelle et les quantités infinies n’apparaissent plus : bien qu’il n’existe pas encore de preuve mathématique, il y a de fortes raisons de croire que la théorie de cordes est finie,, explique Futura Sciences.