« La déclaration de cette nouvelle agression est un acte délibéré visant à faire échouer tous les efforts en vue d’un cessez-le-feu », a déclaré l’organisation armée palestinienne (PIJ), soulignant que l’escalade ne garantirait pas à l’occupation « israélienne » une supériorité sur la résistance, ni sur le champ de bataille ni dans les négociations.
Le PIJ a en outre affirmé que Netanyahu et son entité « assoiffée de sang » ne parviendraient pas à échapper à leurs crises internes grâce à cette nouvelle vague d’attaques. Au contraire, cette agression ne ferait que les affaiblir davantage et accentuer leurs échecs.
« Ce que Netanyahu et son armée n’ont pas réussi à accomplir en 15 mois de crimes incessants, ils échoueront à nouveau à le faire, grâce à la résilience de notre peuple et de sa résistance », a conclu le communiqué.
En parallèle, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a condamné la nouvelle agression de l’occupation « israélienne » contre Gaza, l’accusant de cibler délibérément les civils et les zones résidentielles. Le FPLP a réitéré son engagement envers la résistance et a insisté sur le fait que les actions des forces d’occupation ne briseraient pas la détermination du peuple palestinien.
De son côté, le bureau politique du mouvement Ansarullah du Yémen a dénoncé la nouvelle offensive « israélienne » contre Gaza, la qualifiant d' »escalade criminelle et de poursuite de massacres horribles ».
« L’escalade ‘israélienne’ se poursuit tandis que les pays médiateurs et garants de l’accord de cessez-le-feu restent incapables de contenir l’arrogance et le défi des sionistes », indique le communiqué.
Ansarullah a réaffirmé le soutien militaire inébranlable du Yémen à Gaza, promettant une poursuite de l’escalade contre les intérêts ‘israéliens’ et américains dans la région jusqu’à la fin de l’agression et la levée du siège sur Gaza.
Le gouvernement yéménite à Sanaa a condamné la reprise des opérations militaires de l’occupation « israélienne » à Gaza, déclarant que « la reprise des opérations militaires est une preuve évidente du mépris flagrant de l’entité sioniste pour toutes les lois internationales et humanitaires ».
Réaffirmant le soutien indéfectible du Yémen à la cause palestinienne, le gouvernement de Sanaa a appelé toutes les nations arabes et islamiques à agir de toute urgence en défense de Gaza.
Pendant ce temps, le Conseil politique suprême du Yémen a également condamné la nouvelle agression « israélienne », promettant de continuer à soutenir Gaza.
Tenant l’occupation « israélienne » et les États-Unis pour responsables de la militarisation des eaux régionales, le conseil a mis en garde contre les conséquences potentielles, déclarant : « Nous tenons les ennemis sionistes et américains responsables de la remilitarisation des mers et de toutes ses répercussions, aussi graves soient-elles. »