Rappelez-vous avec quelle rapidité la France s’est empressée d’accuser la Russie et le régime syrien de l’attaque perpétrée contre une école située dans la province d’Idleb, au nord-ouest de la Syrie.
Un empressement d’autant plus étonnant que l’Unesco a affirmé n’avoir aucune information quant aux auteurs du drame.
D’ailleurs nous serions en droit de nous interroger sur les motivations de la Russie ou du régime Syrien de bombarder des enfants alors que leur combat contre les terroristes donne enfin des résultats ?
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La Russie indignée par les accusations de la France, a répondu par le biais du porte-parole du ministère russe de la Défense, le Major Général Igor Konashenkov.
Les russes semblent connaître l’auteur de la lâche attaque, Igor Konashenkox a révélé qu’un drone américain, le Predator a été vu survolant le lycée de Ma’arat Al-Nu, quelques instants seulement avant l’attaque.
« Un Drone américain MQ-1B Predator a été repéré dans la région », a déclaré Igor Konashenkov, jeudi. Ajoutant « Aucun avion russe n’est entré dans la zone au-dessus de la Syrie, c’est à dire à Idlib, où le bombardement a eu lieu ».
Utiliser des drones, censés être plus précis dans leurs recherches et leurs frappes, est une idée du président Barak Obama qui avait « espéré lancer un nouveau genre de guerre moins coûteux en vies humaines » en comparaison aux bombardements traditionnels.
Force est de reconnaître que les drones américains sont tellement précis qu’un grand nombre de civils pâtit chaque jour de cette précision américaine. Si l’on s’en réfère aux différentes photos du lycée syrien prises après l’attaque, on peut constater que la toiture du bâtiment n’a pas été endommagée, qu’aucun cratère au sol n’est décelé et la clôture de l’école n’a pas été atteinte par le “bombardement”. Logiquement le souffle de la bombe aurait dû tout détruire sur son passage.
Les photos sont là pour attester qu’il ne s’agit pas d’un bombardement mais probablement l’acte d’un drone qui serait responsable de la mort de 22 enfants et 6 enseignants.