Nous l’avons annoncé il y a peu, la panique gagne l’état hébreu face à l’essor triomphant du boycott anti-israélien. Loin d’être dérisoire, le boycott est une arme avant tout économique, avec pour objectif de frapper là où ça fait mal, le portefeuille !
Et l’entité sioniste a très mal au portefeuille depuis le lancement de la campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions). Un mouvement international lancé en 2005 qui grandit, faisant des émules dans toutes les sphères de la société, et qui est loin de faiblir.
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Israël n’a donc d’autres alternatives que de ressortir la perpétuelle carte « victimisation ».
C’est le premier ministre Netenyahou, himself, qui monte au créneau pour dénoncer à grands cris cette campagne dont son pays est victime. Usant de tous les stratèges, il n’hésite pas à brandir le spectre nazi, qu’il compare à l’opération de boycott, faisant abstraction intentionnellement du côté non violent de l’action.
Profitant de sa rencontre avec le chef de la diplomatie polonaise, Grzegorz Schetyna, il a essayé de le rallier à sa cause en évoquant notamment les persécutions nazies contre les juifs polonais: « Les attaques contre les Juifs ont toujours été précédées par les calomnies contre les Juifs ».
« Ce qu’on a fait au peuple juif à l’époque, on le fait maintenant à l’Etat juif. Nous ne l’accepterons pas », a-t-il dit. « Nous continuerons à résister aux boycotts, et aux entreprises de diffamation et de délégitimation », a-t-il ajouté.
Voici la preuve irréfutable que le boycott donne des résultats et plus que jamais nous devons persister dans ce combat contre l’oppresseur sioniste.