Afin d’obtenir l’autorisation d’utiliser sa base militaire de la ville de Tamanrasset en Algérie, Washington est actuellement en train d’exercer de nombreuses pressions sur Alger.
Les États-Unis chercheraient par le biais de cette base militaire d’en faire un partenaire privilégié pour sa pseudo lutte contre le terrorisme.
L’Algérie ayant, sur le principe de souveraineté nationale, décidé de refuser toute implantation de base militantes étrangères sur son sol, pousse les États-Unis à placer ce pays sur une liste de 14 pays à risques dont les gouvernements encourageraient le terrorisme.
Rappelons que l’Algérie était pourtant régulièrement félicité pour son efficacité dans la lutte contre le terrorisme… Que faut-il en conclure ?
Par ailleurs, le site partiantisioniste.com nous apprend que l’Union européenne propose actuellement un programme de subventions à hauteur de 150 000 euros, auprès d’organisations issues de la société civile algérienne pour mener des actions liées à la défense des droits de l’homme et à la promotion des réformes démocratiques.
Or, il semblerait qu’actuellement au sein même de l’UE, des signaux officieux soient envoyés dans le sens d’une volonté de changement de régime.
En prenant en compte tout cela, ainsi que la baisse des prix du pétrole et la crise politique qui fragilise le pays, l’Algérie se retrouve aujourd’hui dans une position très périlleuse. Mais, le peuple algérien de part sa maturité politique ainsi que son expérience de la décennie noire, ne se laisse plus berner par stratagèmes visant à renverser le pays par l’instauration d’une pseudo démocratie.
L’Algérie doit continuer à rester vigilent car les tentatives ayant pour réel objectif de satisfaire les intérêts sionistes ne vont faire que se multiplier au fil des années.