Dans sa grande mansuétude, Barak Obama a souhaité aux musulmans un «Joyeux Aïd» pour la fête marquant la fin du mois de jeûne du Ramadan, insistant sur son désir de voir ce jour devenir férié pour tous les écoliers de son pays.

« Un jour férié est un moyen de rappeler à tous les Américains qu’il est important de respecter toutes les croyances et religions », a affirmé Barack Obama dans un communiqué, où il a eu l’occasion de louer l’initiative de la ville de New York d’ajouter les deux fêtes musulmanes au calendrier scolaire.

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Dès la rentrée prochaine, la décision prise en mars dernier par le maire Bill de Blasio prendra effet pour les écoliers qui n’auront pas classe pour l’Aïd el-Fitr et pour l’Aïd al-Adha.
Une décision qui « est une reconnaissance de la diversité et du caractère inclusif qui ajoutent à la richesse de notre nation », a souligné Barack Obama. En juin, le président américain avait invité plusieurs musulmans à la Maison Blanche afin de partager le repas qui marque la rupture du jeûne.

Une reconnaissance du bout des lèvres qui ne pourra, toutefois, que réjouir nos frères et sœurs outre-Atlantique.

Cependant à l’heure du bilan pour le président qui arrive en fin de mandat, le constat est amère, une politique au Moyen Orient désastreuse laissant un champ de ruines, des milliers de morts et de sans abris, des pays désertés de leurs habitants aux mains de mouvances terroristes, des musulmans pris au piège d’un Guantànamo toujours résistant malgré les promesses de fermeture. Lâché par une grande parti de son électorat, Obama premier président noir américain n’aura malheureusement pas su relever le défi, celui de faire la différence.

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