Le Premier Ministre Manuel Valls n’a pas seulement changé de parti, il a également adopté une nouvelle idéologie aux antipodes de ses anciens discours.
Confronté aux mouvements sociaux dans les raffineries de pétrole et à des blocages de dépôts de carburant, Manuel Valls refuse de concéder ou d’accepter les pourparlers proposés par les syndicats. Il préfère faire la sourde oreille et imposer ses convictions grâce à “l’article 49.3”.
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Autrefois, interrogé par iTélé, le 19 octobre 2010, alors qu’il n’était pas membre de ce gouvernement mais seulement député PS de l’Essonne, Manuel Valls s’insurgeait contre les blocages en s’indignant de la réaction du gouvernement François Fillon qui refusait lui aussi, le dialogue social concernant la réforme des retraites et son relèvement à 62 ans.
Aujourd’hui, dans la même situation que l’ancien gouvernement Fillon, il épouse le même comportement dictatorial avec encore plus de vigueur que ses prédécesseurs.
Un renversement d’état d’esprit qui remet en question la sincérité concédé au Premier Ministre et dévoile une démagogie à son point le plus culminant.
