Affichant le sourire diabolique de la victoire, le meurtrier de la famille Dawabchech s’apprête à sortir de prison fin mai après avoir fait seulement quelques mois de prison.
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Avec l’aide de ses complices, Meir Ettinger avait bouté le feu à la petite maison des Dawabchech, brûlant vif le bébé de 18 mois Ali Saad, le père, la mère et laissant agonisant son frère de quatre ans brûlé grièvement.
Un été 2015 qu’Ahmad Dawabchech, seul rescapé de l’incendie criminel, n’oubliera jamais de sa vie où en l’espace de quelques heures des extrémistes juifs vont décimer sa famille. Un crime odieux et lâche commis durant la nuit pendant que la famille dort paisiblement, une haine gratuite qui embrasera la région par des violences entre israéliens et Palestiniens.
Ettinger est leader d’un gang de colons terroristes juifs et comme ses comparses il mène la vie dure aux Palestiniens. Rien ne leur est épargné, pillages de leurs terres, harcèlements quotidien avec l’aide et le soutien des militaires israéliens et pour finir des assassinats qui restent impunis.
Car si le colon terroriste a été écroué en août dernier par les autorités israéliennes, son dossier est resté classé «secret», une parodie de justice destinée à bluffer la communauté internationale. Comme à l’habitude, Israël attend que la tempête se calme pour libérer ses meurtriers.
Au bout de quelques mois il va être libéré et lavé de ses crimes, il pourra continuer à semer la terreur avec ses amis terroristes. Pourquoi en serait-il autrement ? Les colons juifs et les soldats israéliens tuent à la barbe et au nez de tous avec la bénédiction des autorités.
Israël complice et commanditaire compte bien aller jusqu’au bout de son plan démoniaque.
