Jeremy Corbyn est un militant pro-palestinien qui prône l’arrêt des conflits dans le monde, président du collectif “Stop the War”, il a organisé nombre de manifestations contre les guerres en Afghanistan et en Irak.
Une détermination qui lui aura porté chance puisqu’il vient d’être élu avec plus de 60% des suffrages remportant haut la main la première élection interne du parti travailliste, loin devant les autres candidats de l’establishment.
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L’ancien premier ministre Tony Blair n’avait pourtant pas ménagé ses efforts pour dissuader les partisans de voter pour Corbyn qui représente, d’après lui, un « danger » pour le parti. Heureusement, plus de 250.000 sympathisants ont passé outre les recommandations de Blair et ont permis à Corbyn d’être élu grâce au principe « une personne, une voix ».
Mais à peine élu que la polémique a déjà fait son apparition, notamment en France où l’enquiquineuse de service, Caroline Fourest a brillé une nouvelle fois par ses annonces mensongères, art qu’elle maîtrise à la perfection.
Pour Caroline Fourest, le nouveau leader du parti travailliste est « un pur produit de cette gauche radicale flirtant avec les pires extrémistes de la planète par esprit rebelle ou anti-américanisme primaire ».
Une accusation gratuite qui n’a probablement aucun lien avec le combat de Cobryn en faveur des palestiniens.
Mais loin de la polémique, le nouvel homme fort du parti travailliste persiste et signe dans un discours prononcé lors du congrès spécial du parti à Londres, il revient sur son programme de campagne qu’il compte bien mener à terme.
Au menu, solidarité sociale, éradiquer la pauvreté domestique et un sujet cher à son cœur, promouvoir la paix dans le monde.
Bien décidé à rester fidèle à ses convictions, il prévoit de participer à une manifestation en soutien aux réfugiés syriens et irakiens. Invitant ses partisans à le suivre, il a déclaré : « Faisons face à la crise des réfugiés avec humanité, avec soutien, avec assistance, avec compassion » , puis de conclure :
« Qui sème le vent récolte la tempête et reconnaissons que l’amertume et les problèmes sont tout ce que nous héritons du va-t-en-guerre. »