La progression du boycott contre l’état d’occupation sioniste continue son petit bonhomme de chemin. Les unes après les autres, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à dénoncer la politique d’apartheid infligée au peuple palestinien.
Et quel meilleur moyen de que de frapper là où ça fait mal, le portefeuille. L’Etat sioniste dont l’économie dépend en majorité du commerce extérieur, voit ses transactions se réduire comme peau de chagrin.
La 3ème caisse de retraite du Danemark, Sampension s’est ajoutée à la longue liste des entreprises qui ont décidé de boycotter le régime sioniste en excluant 4 compagnies israéliennes de son portefeuille d’investissements.
Il s’agit de deux banques israéliennes, Hapoalim and Leumi, de la société de construction allemande HeidelbergCement et de Bezeq, la plus grosse firme israélienne de télécommunications. Toutes ces sociétés étaient en affaire avec les colonies illégales d’occupation.
Une situation que ne pouvait plus tolérer la caisse de retraite danoise.
Cette dernière qui gère un fonds de 46.1 milliards de dollars avait des investissements dans les firmes incriminées, signale Ana Sanchez, du BNC (Palestinian BDS National Committee (BNC).
« C’est une avancée majeure et un signal à toutes les autres caisses de retraites qui doivent tenir compte des décisions de l’ONU en matière de violations des droits humains », a-t-elle ajouté satisfaite par cette décision.