[Vidéo] Les Grecs s’opposent vigoureusement à la venue de Netanyahou

On finit toujours par payer les conséquences de ses actes, c’est encore plus le cas lorsqu’on instaure sciemment une politique basée sur la terreur et la mort à l’ encontre des civils.
Les innombrables squelettes dans le placard de l’état sioniste ont de plus en plus de mal à être occultés par ses sempiternelles jérémiades et sa propagande haineuse.

Si certains pays continuent malgré tout à jouer la politique de l’autruche face aux crimes perpétrés par l’état hébreu, les citoyens eux ne sont plus dupes.
Le premier ministre israélien, Netanyahou voit la planète se réduire comme peau de chagrin à chacun de ses déplacements. S’il est accueilli avec bienveillance par les chefs d’état, la population a de plus en plus de mal à accepter un assassin d’enfants sur son sol. Il y a quelques mois, sa visite à Sydney en Australie s’est transformée en véritable cauchemar. “Bibi” ne s’attendait pas aux banderoles d’accueil souillées par le sang des Palestiniens.
« Le tapis rouge pour un criminel de guerre » scandent les manifestants qui dénoncent « le soutien de l’Australie à l’Etat sioniste, à une nation raciste d’apartheid ».
Conspué au kangourou land, Netanyahou espérait un meilleur accueil pour son séjour dans la République hellénique, mais les grecques même empêtrés dans leurs problèmes économiques et sociaux n’en oublient pas pour autant qu’il est un criminel de guerre.

Ils se sont donc mobilisés contre sa venue à Athènes prévue cette semaine en scandant des slogans hostiles devant l’ambassade d’Israël. Une majorité de manifestants anti-guerre et anti-OTAN ainsi que des sympathisants palestiniens ont défilé de l’ambassade israélienne jusqu’au ministère de la défense dans la capitale grecque jeudi, pour protester contre la visite de Netanyahou.
Comme les australiens, les grecques ont dénoncé « la collaboration entre le gouvernement Syriza et l’Etat d’apartheid israélien », explique Mohammed Khatibi, du mouvement de solidarité avec les prisonniers palestiniens.

Il semblerait que son petit état criminel soit encore le seul endroit où Benjamin Netanyahou puisse encore se déplacer en toute quiétude, pour le moment…

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