Le président Recep Tayyip Erdogan a juré mercredi que la Turquie ne ferait pas le « moindre pas en arrière » dans une confrontation croissante avec Damas et la Russie sur la région nord-syrienne d‘Idlib.
Parallèlement, une rencontre entre Erdogan et son homologue russe, Vladimir Poutine, devrait avoir lieu, le ministre turc des Affaires étrangères, avant un éventuel sommet comprenant des poids lourds de l’UE, l’Allemagne et la France, pour trouver une solution politique à la crise d’Idlib.
« Nous ne reculerons pas à Idlib, nous allons certainement repousser le régime hors des frontières que nous avons désignées et assurer le retour des personnes dans leurs foyers », a déclaré Erdogan aux parlementaires du parti au pouvoir à Ankara.
Dans le cadre des accords avec la Russie – un partisan clé du président Bashar al-Assad – le soutien rebelle de la Turquie a 12 postes d’observation à Idlib, mais plusieurs ont été sous le feu des forces d’Assad. Ankara a confirmé que pas moins de 17 membres du personnel de sécurité turc ont été tués ce mois-ci.
Erdogan a averti le régime syrien « d’arrêter ses attaques le plus tôt possible » et de se retirer d’ici la fin février. « Le temps que nous avons donné à ceux qui ont assiégé nos tours d’observation s’épuise », a déclaré Erdogan.
« Nous prévoyons de sauver ceux de nos postes d’observation des assiégeants d’une manière ou d’une autre d’ici la fin de ce mois. »
Erdogan a ajouté que « le plus gros problème que nous avons actuellement est que nous ne pouvons pas utiliser l’espace aérien » au-dessus d’Idlib qui est contrôlé par la Russie. « Si Dieu le veut, nous trouverons bientôt une solution. »
Ces dernières semaines, Damas, soutenue par des frappes aériennes russes, a lancé une offensive majeure contre le reste du territoire détenu par les djihadistes et les rebelles soutenus par la Turquie à Idlib.
Dans un communiqué lu à la télévision publique, l’armée syrienne a annoncé mercredi qu’elle avait « repris le contrôle » d’une douzaine de zones ces derniers jours, dont Kafranbel au sud d’Idlib, une ville connue pour avoir été parmi les premières à se rebeller contre Damas. .
L’armée a promis de « libérer les territoires de la République arabe syrienne du terrorisme et de ses partisans ». Idlib héberge plus de trois millions de personnes – la moitié d’entre elles ont déjà été déplacées par la violence ailleurs et les Nations Unies ont mis en garde contre un « bain de sang » imminent au milieu de la poursuite des combats.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, aurait déclaré sur la chaîne publique TRT tv que, dans un premier temps, « ce que le président Erdogan et Poutine ont convenu est de se réunir dans un format bilatéral ».
Tout en soutenant les parties opposées, la Russie et la Turquie ont travaillé pour mettre fin au conflit, mais les tensions ont monté en flèche ces dernières semaines au sujet d’Idlib. Les tensions sont considérées comme la plus grande menace pour les relations entre Ankara et Moscou depuis que la Turquie a abattu un avion de guerre russe au-dessus de la Syrie en novembre 2015.
Le Kremlin a cependant indiqué mardi qu’une réunion Erdogan-Poutine n’était pas envisagée, affirmant également qu’un sommet tripartite avec un autre allié du régime iranien pourrait être prévu au lieu d’un sommet multilatéral avec la France et l’Allemagne. Une délégation russe devait tenir mercredi une nouvelle série de pourparlers avec des responsables turcs à Ankara.
On voit bien que ce terroriste qui soutient les daeshs depuis toujours avec ses allies usa france angleterre les monarchies du golf et son maitre ou son faux dieu venere nethanyahou , il entre en syrie sans y etre invite par son gouvernement il aide daeshs contre l armee syrienne reguliere. il ose encore parler ce batard faux musulmans. saloperie de chien retourne en enfer terroriste de merde erdogan , dictateur et esclave de grandes puissances et d israel avec qui il entretient de tres bonnes relations commerciale et diplomatique il fait le mec qui defend les palestieniens et la qods .