Une nouvelle fois, le Chili montre son éternel soutien à la Palestine et devrait servir d’exemple pour tous les pays musulmans ainsi que ceux qui se réclament d’être des « démocraties ».
C’est pourtant très loin de l’Europe et de la France que la flamme de la rébellion s’est allumée. Toute la classe politique chilienne s’est unie pour agir efficacement contre l’Etat sioniste et en faveur de Gaza, oubliant leurs différents et demandant à « mettre fin au massacre dans la bande de Gaza, ainsi qu’à l’Occupation de la Palestine ».
Le gouvernement chilien n’est pas celui de François Hollande et n’obéit pas à des maitres sionistes. Il a décidé de geler les négociations de l’Accord de libre-échange (ALE) avec le régime israélien et réfléchit à l’idée de rapatrier son ambassadeur actuellement à Tel Aviv.
Les députés et sénateurs d’origine palestinienne souhaitent s’entretenir avec le ministre des affaires étrangères afin d’appliquer des sanctions encore plus fortes. De quoi faire réfléchir certains…