L’Algérie, la Russie et la Chine appellent à un accès urgent de l’aide à la bande de Gaza.

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Le Représentant permanent de l'Algérie auprès des Nations Unies, Amar Bendjama (à gauche), et l'ambassadeur de Chine auprès des Nations Unies, Zhang Jun, votent contre une résolution de cessez-le-feu des États-Unis pour la guerre de Gaza lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU au siège des Nations Unies le 22 mars 2024 à New York.

« La faim et la malnutrition ont provoqué une crise catastrophique à Gaza… Pour éviter une famine totale, nous devons rapidement sécuriser l’accès de l’aide à la partie nord de la bande, » a déclaré Amar Bendjama dans un discours lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour discuter de la question de l’accès de l’aide humanitaire à Gaza.

Amar Bendjama a noté qu’en décembre dernier, le Conseil de sécurité a adopté une résolution visant à faciliter les procédures d’accès humanitaire, mais les événements et les faits ont prouvé l’inefficacité de cette résolution.

À son tour, le Représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vassily Nebenzya, a affirmé que la plateforme flottante établie par les États-Unis au large des côtes de Gaza pour livrer de l’aide humanitaire n’a pas atteint le niveau requis.

Le Représentant permanent de la Chine auprès de l’ONU, Fu Cong, a appelé l’occupation israélienne à répondre à l’appel de la communauté internationale pour garantir un accès urgent de l’aide à Gaza.

Fu Cong, a souligné que le principal moyen d’atténuer la catastrophe humanitaire est un cessez-le-feu permanent et des efforts continus de la communauté internationale pour établir un État palestinien indépendant.

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