La dictature s’intensifie contre les Palestiniens. Tortures, meurtres, prison, rien ne leur épargné par l’Etat sioniste qui semble avoir redoublé d’effort dans son désir d’en finir avec la population Palestinienne.

L’association de défense des droits des prisonniers, “Addameer”, n’en finit pas de dénoncer les arrestations arbitraires et les exécutions d’enfants mineurs. Elle dévoile de nouveaux chiffres tout aussi alarmant que les précédents faisant état d’un nombre incalculable d’enlèvements d’enfants et de femmes par l’armée d’occupation entre le 14 et le 25 juillet.
60 Palestiniens dont 30 enfants ont été kidnappés et emprisonnés pour la seule ville de Jérusalem Est, sans compter les centaines de blessés. La plupart des enfants arrêtés l’ont été en raison des propos tenus sur Facebook à l’encontre de l’occupant sioniste.

Les affrontements sur l’esplanade des mosquées ont une nouvelle fois donné l’occasion à l’Etat sioniste de recourir à la violence, à arrêter et à frapper des journalistes dans l’exercice de leur fonction. Des dirigeants palestiniens ont subi le même sort et même après leur libération, il leur a été interdit de se rendre à la Mosquée Al-Aqsa, de manifester ou d’accorder des interviews.
Plusieurs villages ont été victimes de «représailles» de l’armée sioniste qui s’est déchaînée avec une violence inouïe contre la population. 13 morts sont déjà à déplorer dont un adolescent de 17 ans assassiné par un colon et nombre de villages ont été bouclés empêchant les villageois de circuler. Les soldats ont effectué des raids de jour comme de nuit après la mort de trois colons.

L’association Addameer ne ménage pas ses efforts pour défendre les droits des Palestiniens devant les tribunaux militaires peu enclins à la compassion envers les Palestiniens. D’ailleurs les 20 détenus présents ce jour-là au tribunal ont tous été condamnés à une prolongation de leur interrogatoire, alors qu’ils portaient encore les stigmates des coups reçus par les soldats.
Même les hôpitaux sont attaqués par l’armée d’occupation qui refuse de restituer le corps des martyrs aux familles afin d’empêcher des autopsies qui pourraient dévoiler les causes de la mort et la longue agonie des victimes.

Voilà le vrai visage de l’Etat sioniste, le pays le plus «démocratique» de la région, celui dont on nous vante tant les méthodes sécuritaires qui seraient selon certains élus de la République une référence en la matière.
Un Etat qui viole toutes les conventions internationales en toute impunité et qui prétend avoir le droit de se défendre même si pour cela il doit exterminer des millions d’hommes, de femmes et d’enfants.

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