Sanders : « Le criminel de guerre Netanyahu ne devrait pas être invité au Congrès américain »

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Le sénateur américain Bernie Sanders a critiqué samedi les dirigeants du Congrès qui ont invité le Premier ministre du régime israélien, Benjamin Netanyahu, un criminel de guerre, à s'adresser à une session conjointe du Congrès.

Bernie Sanders a déclaré dans un communiqué sur son compte X : « C’est un jour triste que le Premier ministre Benjamin Netanyahu ait été invité par les dirigeants des deux partis, à s’adresser à une réunion conjointe du Congrès des États-Unis ».

« Benjamin Netanyahu est un criminel de guerre. Il ne devrait pas être invité. Je n’y assisterai certainement pas », a-t-il déclaré dans son post.

Ce sénateur américain a poursuivi : « Israël n’a pas le droit de tuer plus de 34 000 civils et de blesser plus de 80 000 autres – soit 5 % de la population de Gaza. [Israël] n’a pas le droit d’orpheliner 19 000 enfants. Il n’a pas le droit de déplacer 75 % des habitants de Gaza de leurs foyers ».

Les sources d’information ont rapporté samedi matin que Benjamin Netanyahu a été officiellement invité par les dirigeants démocrates et républicains à s’adresser au Congrès américain. Cependant, la date de son discours n’a pas encore été révélée.

Bernie Sanders, franc et direct, avait précédemment publié plusieurs déclarations contre le Premier ministre du régime sioniste. Il a également été un critique virulent du soutien américain au régime israélien et appelle à un changement de politique face aux actions inhumaines d’Israël contre les Palestiniens.

Auparavant, plusieurs représentants et sénateurs démocrates s’étaient opposés à l’invitation de Benjamin Netanyahu.

Après sept mois depuis que le régime sioniste a envahi la bande de Gaza sans résultats ni accomplissements, ce régime est de plus en plus embourbé dans des crises internes et externes.

Pendant cette période, le régime sioniste n’a rien accompli d’autre que des crimes, des massacres, des destructions, des crimes de guerre, des violations des lois internationales, des bombardements d’organisations humanitaires et la famine dans cette région.

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