Le 8 janvier dernier, Francis Da Ros a été flashé à une vitesse de 157 km/h sur une route limitée à 90 km/h. Dans une confusion totale, le conseiller général a été relaxé par le tribunal de police selon Ladepeche.
Francis Da Ros avait déjà dû embaucher un chauffeur pour se déplacer pensant qu’il ne pourrait plus conduire avant un petit moment. Il s’est présenté avec son avocat devant le tribunal de police devant lequel ce dernier a démontré que le procès-verbal établi par les gendarmes comportait une erreur assez notoire.
La nullité du procès-verbal a été appuyée par le ministère public qui s’est dit convaincu par les arguments de l’avocat en raison d’un problème de localisation. Le conseiller général PS a alors été relaxé par le tribunal et s’est vu restitué son véhicule.
Un nouvel exemple de justice à deux vitesses en France où les élites bénéficient de passes droit intolérables pendant qu’une certaine classe de la population subit la stigmatisation et les pires injustices.