Ce n’est pas un canular mais bel et bien une affaire qui fait scandale sur la scène politique internationale. Un cigogne d’origine française a été incarcérée dans une prison d’Egypte pour complicité d’espionnage.
L’oiseau a été vu pour la première fois à 450 km au sud de la capitale, par un villageois qui n’était pas rassuré par l’équipement électronique que l’animal portait sur son dos. A la première occasion, il a capturé l’oiseau afin de le livrer aux forces de police locales.
C’est ainsi que la cigogne fût emprisonnée par mesures de sécurité, le temps de pouvoir analyser avec précisions la balise qu’elle trimbalait partout avec elle. Le vétérinaire en charge de l’enquête s’est vite aperçu que ce n’était qu’une balise GPS servant à retracer le parcours migratoire de ces grands oiseaux qui parcourent des milliers de km chaque année.
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Dans ce contexte de tensions et de menaces des occidentaux dans la région, toute la population égyptienne y compris les forces de police et militaires sont en alerte constante et se méfient de tout. Désormais, l’avancée technologique est telle qu’un boîtier minuscule peut s’avérer être une arme létale très puissante. C’est du bon sens que de ne rien laisser au hasard, les autorités du pays préfèrent prévenir que guérir.
