Un retraité de l’industrie pharmaceutique, convaincu d’avoir trouvé un véritable remède pour lutter contre le SIDA, est conscient qu’au delà de l’aspect révolutionnaire de sa découverte, cette dernière risquerait bien de casser le business des laboratoires pharmaceutiques.

Il y a quelques années, après avoir fondé son propre laboratoire, Robert Vachy a, après de nombreuses recherches, réussi à identifié une molécule capable de tuer des virus, de la grippe jusqu’au SIDA, nous apprend le site Capital.fr.

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Alors que l’on pourrait s’attendre à une véritable révolution, c’est plutôt le début d’un cauchemar que cet ingénieur chimiste s’apprête à vivre puisqu’il n’arrive pas à trouver le moindre financement pour développer un médicament, le tester et obtenir une autorisation de mise sur le marché.
Il a donc commencé par dilapider ses économies avant de vendre son appartement. Pas le moindre géant de la pharmacie n’a souhaité prendre le relais.

La molécule miracle de Robert Vachy s’appelle l’Amovir.
« Elle permet d’attaquer la membrane de ce que l’on appelle les virus enveloppés, avant qu’ils ne contaminent les cellules humaines. Il s’agit d’un virocide, très différent par exemple des trithérapies contre le SIDA, qui bloquent le développement des agents pathogènes, mais sans les détruire », nous apprend Etienne Gingembre dans son article rédigé pour le site Capital.fr.

Dès 1995, Françoise Barré-Sinoussi, Prix Nobel de médecine, a testé l’Amovir dans son laboratoire de l’Institut Pasteur. Conclusion: à de très faibles concentrations (0,5 à 1%), ce produit a détruit plus de 99,99% des virus contenus dans la culture soumise à l’expérimentation. Un seul VIH, sur un million, a survécu.

« Avec son virocide, Vachy a découvert une voie nouvelle qui semble extrêmement prometteuse », confirme à Capital Jean-Claude Chermann, codécouvreur du virus du SIDA avec Françoise Barré-Sinoussi.
Robert Vachy explique que si les grands groupes pharmaceutiques ne veulent pas lui tendre la main, c’est parce qu’il s’agirait d’une histoire d’argent.

Il faut en effet rappeler que les traitements actuels du SIDA rapportent 70.000 euros par an et par patient, payés par la Sécurité Sociale. Cette molécule en revanche ne coûterait que quelques euros…
Lorsque l’on sait que les laboratoires de l’industrie pharmaceutique sont le fleuron du capitalisme, il est clair que ce n’est pas dans leur intérêt de vendre moins de médicaments, comme si par ailleurs, trouver le remède de cette maladie ne serait étrangement pas l’objectif.

4 Commentaires

  1. Je m’appelle Cyprienne Gueu, on m’a diagnostiqué le VIH en 2015 et depuis lors, ma vie a été bouleversée. J’ai même infecté le virus par mon mari, jusqu’à ce que je lise le témoignage d’une femme au sujet d’un guérisseur qui utilise des herbes pour soigner des maladies telles que le VIH, les verrues génitales, l’herpès, l’hépatite, le cancer du sein, etc. Et elle a laissé tomber son email, que je communiquais avec lui pour lui parler de mon problème, il m’a assuré qu’il pouvait me soigner et m’a dit tout ce que je devais faire, après quoi il m’a envoyé un médicament à base de plantes à Montréal, où habitait avec mon mari au Canada. Il a dit à mon mari et à moi-même de prendre le médicament pendant trois semaines, ce que nous avons fait religieusement. Maintenant que nous sommes complètement guéris, nous sommes maintenant séronégatifs pour le VIH. Même la semaine dernière, nous sommes allés à nouveau pour un test et tout était négatif, grâce au guérisseur Dr’Water qui nous a sauvé la vie. Et je conseillerai ceux d’entre vous qui ont besoin d’aide à propos de ce virus mortel, de contacter Dr’Water via son Whatsapp: +2349050205019 ou par courrier électronique: [email protected]
    Je crois qu’il peut vous aider aussi, merci.

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