[Vidéo] Ce professeur dénonce l’arnaque du cholestérol: «escroquerie et ennemi imaginaire»

Parmi les maladies les plus répandues dans le monde, le cholestérol qui s’est avéré être un véritable fléau responsable de nombre de pathologies.
Une version officielle bien ancrée dans les esprits de tout un chacun, mais en 2013 le Professeur Philippe Even, invité sur BFM TV, donne un grand coup dans la fourmilière en prétendant que finalement le cholestérol ne serait qu’une question de gros sous.

Selon lui il s’agirait d’ « un ennemi imaginaire » et surtout « la plus grande erreur médicale de tous les temps ». Un scandale qui vient confirmer les dires du Dr de Lorgeril, auteur de “Cholestérol, mensonges et propagande”.
Tout comme son homologue, le Professeur Philippe Even accuse les grands laboratoires pharmaceutiques d’exploiter la crédulité de millions de gens à travers le monde. Pour lui nous avons affaire à « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique », car si nos artères se bouchent, ce n’est pas le cholestérol qui est en la cause, il serait plutôt « indispensable pour nos fonctions essentielles ».
Censées guérir le cholestérol, les statines, remboursées par la Sécu, sont utilisées pour en diminuer le taux dans le sang, mais les effets secondaires donnent lieu à des décès et le produit est retiré du marché en 2001.

Son livre “La vérité sur le cholestérol” aux éditions du Cherche-midi met en lumière l’utilisation de ce faux médicament et la manne financière qu’il représente avec un coût annuel de 2 milliards d’euros pour la Sécurité Sociale.
Un montant astronomique pour un médicament anti-cholestérols qui ne sert à rien mais qui contribue à creuser le trou de la Sécu.

En conclusion, le Professeur Even affirme que cholestérol ne serait pas dangereux pour l’organisme contrairement aux statines qui sont un véritable poison pour le corps.
Des médecins peu informés, des patients crédules mais surtout des laboratoires pharmaceutiques peu scrupuleux tant qu’il s’agit de faire du profit au détriment des patients.

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