Alors que le débat sur les 11 vaccins infantiles obligatoires en 2018 continue à faire rage, une nouvelle polémique s’ajoute aux nombreuses critiques portées sur ces injections.
En effet, dans un rapport jamais rendu public depuis mars, des scientifiques pointent les risques induits par la présence d’aluminum dans les vaccins.
L’équipe du conseil scientifique de l’ANSM (Agence national de sécurité des médicaments, des scientifiques) accompagnée de l’équipe du professeur Gherardi indiquent que même à faible dose l’adjuvant aluminique « peut induire une accumulation d’aluminium à long terme et des effets neurotoxiques ».
Malheureusement, il existe très peu d’autres solutions puisque l’aluminium est un composant indispensable des vaccins.
Mais selon la théorie défendue en France depuis la fin des années 1990 par l’équipe du Pr Romain Gherardi, chef du service neuromusculaire à l’hôpital Henri Mondor de Créteil, l‘aluminum déclencherait des réactions auto-immunes chez une petite partie de la population, peut-être génétiquement prédisposée.
Dominique Martin, le directeur général de l’ANSM a insisté sur le fait que « cela ne remet pas en cause la sécurité des vaccins », en ajoutant que « ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de problème de sécurité qu’il ne faut pas faire de recherche ».
Des révélations inquiétantes qui vont alimenter les convictions des personnes engagées contre la vaccination systématique et obligatoire.